Dracaena serrulata (Dragonnier de Saba)

La Dracaena serrulata (également appelée Dragonnier de Saba) a été décrite par John Gilbert Baker en 1894. Ce botaniste britannique a consacré une grande partie de sa vie à cartographier et documenter divers groupes de végétation, notamment les broméliacées, les amaryllis, et bien d’autres. Il a décrit pas moins de 68 espèces et sous-espèces de Draconiers.


Baker écrit à propos de la Serrulata : « Les Draconiers ont été à la fois la source de légendes depuis la nuit des temps et de l’exploitation de leurs sèves résineuses, connues sous le nom de sang-dragon. Cette substance est extrêmement précieuse et a été utilisée (et l’est encore) pour diverses applications, allant du fluide d’embaumement à la conservation du bois, notamment pour les bois utilisés dans la fabrication des violons Stradivarius.


Le Dragonnier des Canaries impressionne partout dans le monde dans les jardins au climat méditerranéen. Avec sa couronne en forme de parapluie d’environ 9 mètres de diamètre et ses branches ressemblant à des saucisses, il défie la gravité en poussant dans des angles et des pentes impossibles. Le "Serrulata arabe", similaire, est rarement trouvé dans des conditions cultivées mais est tout aussi précieux. La différence réside dans ses feuilles étroites, rigides et vert-bleu, ainsi que dans sa croissance plus lente. »



Menacé d’extinction

Malheureusement, le Dragonnier est menacé d’extinction. La plupart des espèces ne sont plus disponibles, mais la Dracaena draco subsiste encore. Grâce à ma passion pour le Dragonnier, j’ai commencé à les cultiver moi-même, contribuant ainsi à leur préservation. Vous cherchez un arbre/plante magique, unique et particulier (une véritable œuvre d’art) pour votre salon ? Vous pouvez facilement en commander un via ma boutique.